On me demande souvent pourquoi je vais à vélo chaque jour au travail…

C’est vrai!

Pourquoi s’embêter quand on pourrait pendre la voiture ou les transports ?

Surtout quand il pleut toute la journée comme aujourd’hui.

J’ai perdu mon kway, donc je vais finir trempé et mes affaires vont être mouillées jusqu’à ce soir.

Alors je choisis d’y aller en short et t-shirt. (Au moins, moi tout séchera plus vite…)

Bref !

Tout ça pour vous dire qu’une action insignifiante, répétée chaque jour (même des jours difficiles) travaille notre détermination et programme notre inconscient sur le mode : « je n’abandonne pas. »

Pour beaucoup de personnes, ça n’a pas de sens et c’est irrationnel.

Mais je crois profondément que la volonté, c’est comme un muscle et qu’il faut la développer.

L’abnégation et la détermination, c’est pareil.

Il faut s’entrainer à ne pas abandonner à la moindre petite douleur.

Plus encore, il faut être enthousiaste de développer ces compétences profondes !

Et vous, quels petits effort faites-vous au quotidien ?

Qu’est ce que vous faites de petit aujourd’hui…

…Et qui fera une différence énorme dans 10 ans ?

Lire ces emails chaque jour est une excellente première étape 🙂

Pour vous aider, vous pouvez simplement vous dire :

« je fais partie de la communauté des Cultivateurs, je plante chaque jour une petite graine par une petite action… tout est encore sous le sol, mais sur le long terme, mes actions créeront une différence significative. »

Tout le monde veut gravir la montagne.

Mais la grande différence entre ceux qui se trouvent en haut et ceux qui se trouvent encore en bas consiste simplement à se montrer demain pour tenter encore une fois.

La citation inspirante du jour : « Do one thing everyday that scares you » Eleanor Roosevelt

PS : J’accompagne ce mois-ci 2 nouvelles personnes à trouver leur Don Ultime pour le mettre au service des autres et lancer leur activité indépendante, sur-mesure et profitable.

Cliquez sur ce lien pour prendre rendez-vous avec moi afin que l’on discute de votre projet : https://calendly.com/xeryus-mauguy/session-decouverte

PPS : Votre don ultime, c’est votre zone de génie unique que vous avez souvent développée inconsciemment.

Vous seul avez ce don.

Si vous voulez vraiment aider les autres en gagnant confortablement votre vie de façon indépendante, vous devez utiliser ce don.

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PS : Inscrivez vous si vous NE voulez PLUS subir votre vie, et si vous voulez devenir un héros inspirant qui a le choix.

Un court email aujourd’hui.

Prenez du temps pour vous.

Arrêtez de toujours courir.

Prenez au moins 5 min pour être pleinement dans le moment présent.

Déconnectez-vous un moment et supprimez les distractions.

Soyez 100% avec vous-même.

Soyez 100% avec votre entourage.

Ça vous fera le plus grand bien.

Qu’allez vous faire des 86 400 secondes que la vie vous offre aujourd’hui ?

Prenez le temps d’y réfléchir.

VRAIMENT.

À demain pour la prochaine graine,

Xeryus

PS : Avant d’éteindre votre téléphone ou votre ordinateur, partagez cet email à un ami qui en aurait besoin.

Il pourra s’inscrire simplement en suivant ce lien :

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Je suis dans le salon.

J’attends, debout à côté de la table basse en bois.

Je m’apprête à m’assoir sur le canapé, à coté de ma mère.

Seul dans la cuisine, un de mes frères prépare des crêpes.

Une sublime odeur arrive jusque dans le salon…

Quand il arrive avec une assiette remplie de crêpes, on aperçoit la chaleur qui s’en dégage.

Alors, mon autre petit frère se précipite prêt de l’assiette.

Il prend le nouveau pot de Nutella.

Je le vois l’ouvrir en se léchant les babines.

Tout en finesse, il utilise ses petits ongles pour enlever le papier doré en aluminium.

Ses yeux pétillent.

Il va passer un bon moment, j’en suis certain.

Il se saisit d’un couteau vert, posé sur la table.

Ses doigts s’enroulent autour du manche du couteau.

Il regarde le Nutella…

…Enfonce la lame dans le pot…

…Et la ressort.

Puis, tout doucement, étale le Nutella sur sa crêpe.

Il la plie en quatre.

Et me donne le couteau pour que je puisse faire ma crêpe.

Mon frère a maintenant sa crêpe dans les mains, prête à être dévorée.

Mais il ne la mange pas.

Il ne la regarde même plus.

Comme si sa crêpe n’avait plus aucune valeur.

Maintenant, il me regarde en train d’étaler le Nutella sur la mienne.

Ses yeux se remettent à pétiller…

…Comme si les crêpes étaient plus vertes ailleurs… ^^

(Je pense : « Quand il a ce qu’il veut, il ne rêve plus… » : à méditer les Cultivateurs !)

Bref.

Je mange ma crêpe et la termine.

Il commence la sienne.

Lorsque ses dents touchent la crêpe, ses yeux s’écarquillent…

Comme s’il avait eu une illumination…

Vous voyez, comme dans le film Ratatouille quand Ego a gouté la ratatouille de Rémy le rat.

« Mmmmm… Trop bon. »

Et puis, quand il voit que le nombre de crêpes restantes a bien diminué…

Je le vois se dépêcher de la finir.

Il met directement toute la crêpe dans sa bouche pour en reprendre une autre !

Et là, je me revois enfant…

Manger vite pour passer à la crêpe suivante (je faisais sûrement pareil)…

Je me remémore des scènes.

Par exemple, quand je me goinfrais et que je me dépêchais de finir mes bonbons pour me resservir et en avoir plus que mes amis…

On en veut tellement plus qu’on ne profite plus de l’instant présent.

Je ne profitais même pas des bonbons que j’avais dans la bouche.

J’en voulais PLUUUUS !

Mais c’est ça l’enfance.

On est mignon et innocent.

En grandissant ?

Certains deviennent sages.

Mais moi, je suis juste un grand enfant (et un petit adulte ^^).

Et vous, vous êtes quoi ?

Si vous êtes un grand enfant comme moi :

En tant que grand enfant, il nous arrive de refaire certaines erreurs.

De reproduire certains réflexes de l’enfance.

Comme : oublier de profiter de l’instant.

Alors aujourd’hui…

Prenons le temps de savourer.

De savourer notre crêpe.

De savourer notre victoire.

Notre victoire passée.

Notre première étape franchie…

Ou notre future victoire.

Prenons le temps de savourer le moment présent.

Et d’être reconnaissant pour tout ce que nous avons… et pour tout ce que nous sommes.

On a trop souvent tendance à banaliser nos petites victoires.

On recherche la performance, on en veut toujours plus, et on en oublie de savourer.

On oublie de se féliciter.

On oublie de vivre pleinement, en fait.

Prenons ce temps aujourd’hui.

Faites vous une tape sur l’épaule, pour ce que vous faîtes, pour ce que vous êtes et ce que vous réalisez.

Et si vous n’arrivez pas à vous la donner, sachez que moi je vous félicite.

Pour qui vous êtes, pour ce que vous plantez et pour vos futures récoltes.

À demain,

Xeryus

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Vous Ne Serez Pas En Gilet Jaune à 70 ans.

Les médias ne font qu’en parler.

On les voit partout.

Derrière ce titre provocateur…

Se cache un message qui me tient à coeur.

Tous les médias nous parlent des gilets jaunes.

On les voit partout.

J’étais en voiture ce matin.

Et des hommes me bloquent la route.

Je leur demande gentiment de me laisser le passage.

La réponse ?

« Non ! Tu verras quand on aura fait chuter le prix de l’essence, tu seras bien content !!! »

Wouha.

Une telle agressivité.

Alors simplement je me demande :

Pourquoi embêter les simples citoyens qui sont dans le même « camp » ?

Pourquoi ne pas remonter à la source du problème ?

Je ne trouve pas de réponse.

Alors je change d’angle :

Je me dis que chacun des gilets jaunes veut être héros.

Un héros des temps modernes.

Mais…

Je reviens à ma question numéro 1:

Quelle est l’interêt de nous embêter les uns les autres ?

Je me repasse la scène.

Je l’analyse et je constate…

… Qu’ils se réunissent, mais que chacun pense à soi d’abord.

J’ai l’impression que ce n’est pas « un pour tous, tous pour un ».

Mais « Tous ensemble, chacun pour soi »

Personne ne se respecte…

Chacun pense à son petit problème…

Des citoyens se défoulent sur d’autres citoyens…

On prône le rassemblement, mais on se rend vite compte de l’individualisme de la démarche…

…Ce qui nous amène à une solution :

Être un héros en changeant nous mêmes, plutôt que d’essayer de changer le système.

Arrêter d’attendre qu’une personne vienne nous sauver, et de croire qu’on nous doit quelque chose.

Nous sauver nous mêmes et être responsables de ce qu’il nous arrive.

Comment devenir un héros, faire pousser du bonheur autour de soi et contribuer à un monde meilleur ?

S’occuper de l’influence que l’on a sur notre sphère : nous, notre famille et nos amis.

Soigner ses relations et bien s’entourer : être à l’écoute, savoir apporter à notre entourage ce dont il a besoin.

Prendre du temps avec ceux que nous aimons.

Mieux manger et être plus énergique pour apporter un maximum d’impact et d’enthousiasme autour de nous.

Choisir de quelle façon nous voulons nourrir notre esprit.

Nous concentrer sur ce que nous pouvons apporter de positif.

Développer nos compétences et toujours nous améliorer pour apporter plus de valeur.

En comptant sur nous même, nous n’aurons plus jamais à nous inquiéter des augmentations…

Puisque nous devenons le seul responsable.

Et ne ferons pas partie des personnes qui pointent du doigt les problèmes.

Quand on se plaint …

Quand on attend que l’on nous donne quelque chose…

…On n’agit pas à se sauver soi-même.

Et donc à rendre le monde meilleur.

Cette solution peut paraitre individualiste et égoïste.

Mais elle ne l’est pas, et voici les raisons :

En vous occupant de vous et en changeant, vous changez votre monde.

Vous changez donc le monde, à votre échelle.

Vous inspirez les personnes autour de vous.

Vous changez réellement le monde une personne à la fois.

Vous avez un réel impact et pouvez le mesurer.

En choisissant vos consommations d’information, vous devenez plus inspirant.

Soyez le leader de votre vie, apportez de l’enthousiasme, soyez inspirant et je crois que vous serez un héros…

…Mais aussi que vous laisserez un impact positif.

À demain,

Xeryus

PS : Nous ne serons pas en gilet jaune à 70 ans…

Si nous comptons sur nous.

Si nous plantons aujourd’hui différentes sources de revenu.

Si nous plantons, plantons encore et encore.

Et bientôt… nous récolterons.

Et nous pourrons redonner encore plus au monde.

C’est ça, l’état d’esprit d’un Cultivateur.

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Les rêves, c’est parfois bizarre.

On peut arriver à faire certaines choses…

Qui nous paraissent impossibles dans la « vraie » vie.

Ce matin, ça m’est arrivé.

Je me suis réveillé après avoir réalisé un discours incroyable.

Un discours devant 40 personnes, sans préparation.

Il était fluide, clair et impactant.

Vous avez déjà vécu ça ?

Dans votre rêve, vous avez résolu votre plus gros problème…

Vous avez réussi votre plus gros défi.

Peut être que vous avez enfin réussi à manger du riz avec des baguettes chinoises.

Ou vous avez réussi à terminer ces 10 kms de course à pied.

Vous l’avez fait… vous l’avez rêvé.

Dans votre rêve, vous réussissez.

Et dans votre vie, vous échouez…

Ou vous n’essayez pas.

Si vous êtes capable de le rêver, vous êtes capable de le réaliser.

Voici pourquoi :

Lorsque vous rêvez, vous anéantissez toutes vos barrières mentales.

Vous laissez votre inconscient travailler.

Vous êtes capable, c’est tout.

Vous mettez de coté la partie rationnelle de votre cerveau qui vous limite.

Qui vous dit : « oui mais… ce n’est pas possible »

La partie rationnelle ne vous laisse pas explorer toutes les possibilités.

Dans votre vie, vous êtes un simple conducteur de voiture.

Vous êtes à l’aise sur la route.

Mais dans votre rêve, vous êtes un pilote.

Vous savez quelle trajectoire prendre.

Quand accélérer.

Et quand freiner.

Vous n’avez plus peur.

Et vous appuyez enfin sur le champignon.

Qu’est ce qui vous bloque pour devenir LE pilote de votre vie ?

Vos rêves peuvent devenir votre réalité.

Si comme dans vos rêves, vous repoussez vos limites mentales.

Comment ?

Essayez chaque jour de vous demander :

Ce que je crois… est-ce que c’est VRAI, VÉRIFIÉ et PROUVÉ ?

S’il y a au moins une preuve du contraire…

Si une personne a fait ce que vous voulez faire…

Une personne qui était dans votre situation…

Alors c’est que vous vous racontez de fausses histoires, et vous en avez la preuve.

Vous aussi, vous pouvez accomplir ce que vous voulez.

Soyez enthousiaste à cette idée.

Et devenez un vrai pilote.

À demain,

Xeryus

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Max est un papa heureux.

Il vit avec sa femme et ses deux enfants dans le sud de la France.

Il travaille en tant qu’ingénieur dans une petite PME du coin.

Mais depuis quelque temps, Max a régulièrement des migraines affreuses…

Sa tête lui fait mal comme si on lui donnait des coups de marteau.

Parfois, il perd la vue quelques secondes.

Quand ça arrive, il se shoote au doliprane.

Avec le temps, sa douleur persiste et s’amplifie…

Alors, il commence à avoir peur, à réfléchir :

S’il avait quelque chose de grave ?

S’il avait un caillot dans le cerveau ?

S’il avait une tumeur qui se développe ?

Mais il se dit : « arrête de psychoter, ce n’est rien, ça va passer. »

Et plutôt que d’en avoir le cœur net et d’aller faire un IRM, il va secrètement espérer qu’il n’a rien et que ça va s’en aller tout seul.

Mais les douleurs continuent.

Et deux mois passent avant qu’il prenne son courage à deux mains et décide d’aller faire des examens.

Quand il y va, les médecins sont unanimes.

Il lui reste 2 mois à vivre et il va continuer à perdre la vue.

La tumeur était traitable durant les premières semaines de son développement…

… Mais maintenant, elle ne peut plus être opérée et il est trop tard pour agir.

Max va partir au paradis en laissant sa femme et ses deux enfants.

Ces deux mois d’attentes lui auront été fatals.

La morale de cette histoire est la suivante :

Parfois, nous avons peur d’agir, car cela pourrait révéler une vérité que nous ne voulons pas entendre.

Alors, on préfère ignorer le problème plutôt qu’affronter la vérité.

Souvent, ignorer le problème l’empire.

Alors qu’affronter la vérité permet d’avoir un pouvoir d’action et d’éviter le pire.

Le savoir est le pouvoir, et au plus tôt on prend connaissance de quelque chose ? (même si c’est une mauvaise nouvelle…)

Le plus d’opportunités on aura pour éviter la pire situation.

Et c’est la même chose quand on ne va pas chez le dentiste et qu’on se dit que notre petite douleur va passer.

C’est la même chose quand on ne fait pas nos impôts par peur d’affronter la vérité et de savoir combien on doit au gouvernement.

C’est la même chose quand on évite une conversation importante avec notre partenaire parce qu’on a peur d’être confronté à vérité que l’on ne veut pas entendre.

C’est pareil quand tu repousses au lendemain cet appel avec une personne qui va t’aider, parce que tu as peur de réussir et que tu t’auto-sabotes. (https://xeryus.fr/session-strategique)

Dans toutes ces situations, comme Max, tu risques plus gros à ne rien faire, c’est certain.

Alors dis-moi, qu’est-ce que tu attends ?

À demain,

Xeryus

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Lundi, j’ai eu le droit à une remarque extraordinaire d’un prospect au téléphone.

Sur les derniers appels que j’ai eus, c’est le seul a qui j’ai proposé une offre.

Et c’était vraiment exceptionnel de ma part…

Je vais t’expliquer pourquoi :

Je l’appelle à l’heure exacte à laquelle il a pris le RDV.

C’est lui qui a choisi le jour et l’heure, donc.

Et quand il décroche, j’entends qu’il n’est pas prêt, j’entends du bruit…

Alors, je lui laisse 2 min pour s’installer, qu’on commence l’appel.

Il enchaîne et me dit :

« Oui, mais la, c’est férié, je pensais que l’appel était décalé à mardi du coup »

Mmmmm….

J’ai eu une sueur froide.

Mon alarme interne se met en route.

J’hésite vraiment à stopper l’appel en lui expliquant gentiment qu’il n’a pas l’état d’esprit des personnes avec qui j’ai envie de travailler.

Mais je lui laisse le bénéfice du doute…

Je me dis que je ne dois pas le faire rentrer dans une case en m’arrêtant à ses premiers mots.

Alors, je décide de continuer encore quelques minutes et lui répond :

« Quand on est entrepreneur, ou qu’on veut le devenir, il n’y a pas de jours fériés. » sur le ton de la rigolade mais en pensant très fort :

« Si tu prends RDV le lundi, on s’appelle lundi, right ?

Ou au moins tu préviens et tu reprends RDV ?

Ça s’appelle la correction.

Et non, on ne décalera pas à mardi, car mardi, j’ai d’autres appels prévus. »

Mais je choisis de pas le dire, de continuer l’appel et de l’écouter.

À la fin ?

J’hésite vraiment à lui faire une offre…

Son mindset me dérange et c’est un débutant.

Je ne prends pas de débutant en accompagnement d’habitude…

…Mais il me dit être conscient du travail à fournir, qu’il a une famille à nourrir et par conséquent est très très motivé pour changer.

Après des aller-retour dans ma tête, je décide de déroger à ma règle en lui faisant une faveur :

Je décide de l’aider et lui propose une offre.

Offre dont il n’a pas su voir la valeur à cause de son mauvais mindset.

Retour à la case départ.

J’accompagne seulement les personnes qui ont déjà un business qui tourne et qui veulent aller beaucoup beaucoup plus loin : développer, pérenniser, stabiliser.

Si tu en fais partie, tu peux prendre RDV ici pour que l’on en discute. 🙂(https://xeryus.fr/session-strategique)

Pour les débutants, je vais sortir des formations pour développer son mindset et devenir inarrêtable.

À demain,

Xeryus

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Quelque chose de drôle m’est arrivé ce matin.

Vraiment drôle, ça m’a fait plaisir.

Mais avant de te dire ce que c’est, laisse-moi te mettre en contexte :

Toute ma vie, j’ai cherché à être aimé.

J’ai cherché à plaire, à faire en fonction de ce qu’on attendait de moi, à ne pas décevoir…

Et aujourd’hui, j’ai lâché tout ça.

Tu m’aimes ?

C’est cool.

Tu ne m’aimes pas ?

Tu peux partir librement.

Je ne suis pas là pour que tu m’aimes, je suis là pour t’aider.

J’ai beaucoup travaillé sur ça ces derniers mois et c’est en lâchant ce besoin d’être aimé que…

…Mon premier « hater » frappe à la porte.

Ce n’est pas un hasard : nous sommes le reflet de notre business.

Je l’ai autorisé à venir, en lâchant mes peurs et croyances.

Et je vais t’expliquer pourquoi je ne l’ai pas eu avant :

Avant, je travaillais sur mon business.

Je travaillais ma communication, j’essayais d’être clivant, je travaillais sur mon marketing… et j’avais l’impression d’avoir que peu de résultats. (Disons que j’en avais pas autant que je l’aurais voulu)

Aujourd’hui, je ne travaille QUE sur moi pour améliorer mon business. Et ça marche 100 fois mieux.

Je me sens vraiment joyeux et plein de gratitude, car je l’attendais depuis longtemps.

Pour moi, avoir des « haters » est un signe qui montre que tu es sur le bon chemin.

Tu sais *|FNAME|*, quand tu t’autorises à être pleinement toi, tout change.

Si tu vis déjà de ton business et que tu stagnes… J’ai un conseil :

Avant d’affiner ta stratégie, guéris tes blessures.

Avant de travailler ton marketing, travaille l’image que tu as de toi-même.

Avant de vouloir aider plus de personnes, aide-toi toi-même.

Si tu es débutant, alors va chercher ton vrai pourquoi.

Pourquoi tu veux lancer un business et être libre ?

Tu peux me répondre en répondant à ce mail, je serai ravi de lire ta réponse.

Et si tu veux aller plus loin pour travailler sur toi ET ton business ?

Tu peux réserver un RDV téléphonique pour que l’on discute de ta situation 🙂 (https://xeryus.fr/session-strategique)

À demain,

Xeryus

PS : ce mail est peut-être le mail le plus important que je n’aie jamais envoyé : TOUT part de toi, ta réalité, tes croyances, tes blessures, tes forces, tes faiblesses. Tu es le reflet de ton business.

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Quand je me suis lancé, sur internet, j’ai été confronté à un gros problème :

Les personnes que j’avais déjà rencontrées dans « la vraie vie » voulaient travailler avec moi.

Mais pas les autres.

Je n’arrivais pas à leur donner confiance.

Je n’arrivais pas à exprimer qui j’étais vraiment.

Quand je me filmais, la caméra me paralysait.

Je n’étais pas vraiment moi… Et ça me frustrait vraiment.

J’ai mis du temps à dépasser ce filtre qu’est l’écran.

(Et je ne suis pas encore très à l’aise.)

Dès lors que je me suis un peu amélioré…

…tout a changé dans mon business.

En apprenant à être toi-même face à un écran, tu vas vraiment attirer plus de personnes qui te ressemblent.

Et de personnes que tu veux vraiment aider.

Je ne dis pas que c’est facile…

Et je t’en dis plus dans cette courte vidéo : https://youtu.be/ZNEkQbOO5Ts

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Une étude scientifique a montré que payer en liquide augmentait la douleur liée à l’acte d’achat.

(Je n’ai plus la source, mais je te laisse approfondir le sujet si ça t’intéresse)

Or, mon chiropracteur accepte seulement les espèces ou chèques…

Ce qui va augmenter ma frustration a payer et donc potentiellement faire que je ne vais pas acheter chez lui.

En vente, tu dois toujours penser à la façon dont tu peux réduire cette douleur.

Voici un exemple parlant :

Amazon et Instagram développent une technologie qui permet au consommateur de rechercher un produit par image.

Le consommateur peut acheter le produit présent sur cette image en un simple clic, puis procéder au paiement en ligne directement avec Paypal par exemple.

Voici les atouts de l’achat par un clic sur image :

• La tension de l’achat a été réduite à néant

• Accélération de la vente : le produit est sur l’image prêt à être commandé : facilitation d’accès au produit

• Facilitation de la transaction : le clic et paiement en ligne

Ces 3 atouts ?

Tu dois y penser à chaque fois que tu veux vendre ton produit ou service.

En te posant par exemple cette question :

Comment je peux réduire la tension liée à l’acte d’achat et accélérer / faciliter le processus de vente ?

Le deuxième point dont je voulais te parler, c’est que mon chiropracteur délivre son service avant de se faire payer.

Toi, si tu es entrepreneur, tu dois faire l’inverse.

Ça te permettra de te protéger et d’éviter les problèmes avec les personnes qui ne veulent pas te payer après le service délivré.

C’est bête, mais si ton but est d’avoir un business au service de ta vie, alors tu dois faire en sorte d’éviter de pouvoir être dans une situation délicate.

Tu dois poser les conditions sur la table.

Et si le client n’accepte pas de te payer avant ?

Le mieux est de le refuser.

Tu ne veux surtout pas de client comme ça, pour ta tranquillité d’esprit.

Comment tu peux délivrer correctement ton service si ton esprit est occupé à penser à comment tu vas manger le mois prochain ?

Comment tu peux délivrer correctement ton service si ton esprit est occupé à se demander si ton client va vraiment te payer ?

C’est un vraie cercle vicieux.

Si tu veux aller plus loin et apprendre à mieux vendre à tes clients idéaux, en te débarrassant de tes croyances limitantes ?

Tu peux réserver un appel avec moi afin que l’on étudie ensemble ta situation et comment je peux t’aider. (https://xeryus.fr/session-strategique)

À demain,

Xeryus

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